Énergies

Les questions les plus fréquentes

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Quel est l’ordre de priorités à suivre pour diminuer mes factures énergétiques ? 
  1. Isolez bien votre logement afin d’éviter au maximum que la chaleur produite ne s’échappe. Consultez notre page Isolation thermique de votre habitation bruxelloise ;
  2. Installez des équipements techniques performants, sans oublier la ventilation ;
  3. Investissez dans les énergies renouvelables.

Pour en savoir plus, consultez notre fiche info Améliorer la performance énergétique de votre logement.

En parallèle, informez-vous sur les gestes quotidiens et petites interventions que vous pouvez facilement mettre en œuvre pour réduire votre facture d’énergie.

Découvrez Les 35 gestes pour économiser l’énergie d’écoconso.

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Quels sont les petits investissements intéressants pour votre système de chauffage ?

Couplés au bon réglage du système, de petits investissements rentables permettent de tirer le meilleur parti de l’installation existante.

Placer une régulation centrale

Trop d’installations anciennes n’en possèdent pas : la température de l’eau dans la chaudière est constamment maintenue à haute température. La chaudière continue de fonctionner, même lorsque la température de confort est atteinte. Cette situation est très énergivore.

Si votre chauffage ne possède pas de régulation centrale, si la régulation est vétuste (non programmable) ou hors d’usage, le placement d’un thermostat programmable est un must : les économies réalisées permettent d’amortir l’investissement en moins de 5 ans.

Un régulateur climatique programmable permet une économie encore plus importante.

Le travail doit se faire avec l’aide d’un professionnel qui veille à la compatibilité de la nouvelle régulation avec le système existant. Si un régulateur climatique est placé, il vérifie notamment si la chaudière peut travailler à basse température (risque de corrosion) ou à débit nul.

Isoler les tuyaux dans les locaux non chauffés : caves, garage, chaufferie…

Les économies réalisées rembourseront l’investissement en moins d’un an.

En effet, le schéma ci-contre illustre qu’un mètre de conduite non isolée dissipe l’équivalent de l’énergie produite par une lampe de 60 W allumée en permanence.

Schéma : perte d'énergie d'un tuyaux non isolé d'un diamètre de 1 pouce sur une longueur de 1m

Placer un circulateur à vitesse variable

Plus économe en énergie, ce circulateur module sa vitesse pour que la pression reste constante, quelle que soit la demande de chauffage. Son achat est rapidement amorti car la consommation électrique évolue exponentiellement en fonction de la vitesse : une vitesse réduite de moitié, c’est une consommation électrique divisée par 8.

Circulateur à vitesse variable
Circulateur à vitesse variable © Praktyk

Placer des réflecteurs derrière les radiateurs

Placés contre une façade non isolée, ils permettent de diminuer les pertes de chaleur vers l’extérieur. Cet investissement est amorti en moins de 2 ans.

Réflecteur derrière un radiateur
Quels sont les bons réglages à mettre en place au niveau du système de chauffage ?

De simples réglages qui n’entraînent aucun frais permettent de maximiser le rendement de l’installation et de réduire significativement les consommations énergétiques.

Bien utiliser son thermostat d’ambiance

Le thermostat d’ambiance permet une régulation centrale de l’installation en fonction de la température ambiante. Comme un interrupteur, il actionne la mise en route de la chaudière (et souvent du circulateur) : tant que la n’est pas atteinte dans le local où il se trouve, la chaudière fonctionne et permet de chauffer tous les locaux. Une fois la température de consigne atteinte, elle s’arrête. 

Un paramétrage adéquat permet d’adapter la température ambiante à l’occupation des locaux et de pratiquer une intermittence du chauffage. 

Voici un schéma qui représente la consommation de chauffage sans intermittence et avec intermittence.

Schéma : consommation de chauffage sans intermittence et avec intermittence
  1. Température intérieure SANS intermittence
  2. Température intérieure AVEC intermittence
  3. Consommation d’énergie
  4. Consommation d’énergie
  5. Température extérieure
  6. Température extérieure

© Architecture et Climat – Faculté d’architecture, d’ingénierie architecturale, d’urbanisme (LOCI) – Université catholique de Louvain (Belgique).

Pendant la nuit ou les périodes d’inoccupation du bâtiment (week-end, vacances), on abaisse la température intérieure, ce qui permet de réaliser d’importantes économies d’énergie. Plus la température intérieure chute et plus le temps pendant lequel cette baisse de température est long, plus l’économie d’énergie réalisée grâce à l’intermittence est importante.

Si vous disposez d’un thermostat non programmable, pratiquez l’intermittence en diminuant manuellement la consigne de température la nuit ou en cas d’absence. 

Photo d'un thermostat manuel non programmable
Photo d’un thermostat manuel non programmable
Photo d'un thermostat programmable
Photo d’un thermostat programmable

Si vous possédez un thermostat programmable sur au moins une semaine et/ou sur des périodes d’absences prolongées, faites une programmation complète. Vous ferez jusqu’à 10 % d’économies d’énergie par an !

Quelles sont les bonnes températures de consigne ?

La nuit, quand vous êtes sous la couette, ou en journée lorsque vous êtes absent, une température de 16 °C suffit amplement dans votre logement.

En cas d’absence prolongée, vous pouvez descendre jusqu’à 12 °C. Un degré de moins = 8 % d’énergie économisée, voire plus si la maison est mal isolée.

Bien régler sa courbe de chauffe

Un régulateur climatique permet une régulation centrale de l’installation en fonction de la température extérieure. La régulation se fait en définissant la température de l’eau de départ de la chaudière.

La correspondance entre la température extérieure et la température de l’eau s’appelle la « courbe de chauffe ». Par exemple, pour une température extérieure de 0 °C, la courbe de chauffe ci-contre définit une température de l’eau de 60 °C.

La courbe de chauffe est paramétrable en fonction de l’installation, du niveau d’isolation du bâtiment et du confort recherché. Le but est de baisser au maximum la température de la chaudière tout en garantissant en permanence aux occupants un confort acceptable. On obtient ainsi un rendement maximal de production.

Un mauvais réglage de la courbe de chauffe entraîne soit un manque de chaleur, donc un inconfort, soit un excès de chaleur et donc une surconsommation et une baisse de rendement de l’installation.

Représentation d'une courbe de chauffe
  1. Température de l’eau de chauffage
  2. Courbe de chauffe
  3. Température extérieure

Si votre installation est équipée de ce type de régulateur :

  • assurez-vous que la courbe de chauffe est bien réglée : les radiateurs ne doivent être brûlants que par très grand froid ;
  • en fonction du confort, faites ajuster cette courbe. Les ajustements et leurs résultats doivent être consignés jusqu’à l’obtention de la courbe idéale.

Même si votre installation ne possède ni thermostat ni régulateur climatique, vous pouvez réaliser des économies d’énergie en abaissant la température d’eau de votre chaudière directement via son aquastat.

Renseignez-vous auprès de votre chauffagiste afin de connaître la température d’eau minimale compatible avec le bon fonctionnement de votre chaudière ! 

Bien utiliser ses vannes thermostatiques

Les vannes thermostatiques commandent l’ouverture ou la fermeture des radiateurs en fonction de la température de chaque pièce. Elles permettent une régulation locale de l’installation en fonction de la température ambiante.

Une vanne thermostatique comporte une sonde de température logée dans sa poignée. Lorsque la température mesurée est inférieure au point de consigne (= la température demandée), la vanne s’ouvre pour laisser entrer l’eau chaude ; quand la température est atteinte, elle se ferme. 

Régler la position de la vanne, c’est choisir la température de la pièce !

Si vous possédez des vannes thermostatiques :

  • ajustez la température de consigne en fonction des locaux. Les températures conseillées sont celles-ci : entre 19 et 20 °C dans le séjour, 18 °C dans la cuisine, 16 °C dans les chambres ;
  • baissez la température de consigne dans les locaux bénéficiant d’apports de chaleur importants (soleil, ordinateur…). 
Schéma : intérieur d'une vanne thermostatique
  1. Sonde de température
  2. Poignée de réglagepour fixer le point de consigne (*, 1, 2, 3, 4 ou 5)
  3. Ressort de rappel
  4. Clapet de réglagepour le passage de l’eau chaude

© Architecture et Climat – Faculté d’architecture, d’ingénierie architecturale, d’urbanisme (LOCI) – Université catholique de Louvain (Belgique).

Tant que la température de consigne n’est pas atteinte, la vanne est ouverte à 100 %. En mettant la vanne sur 5, vous n’aurez pas plus vite chaud. Par contre, vous risquez de surchauffer inutilement le local. Au-delà de la température de consigne, la vanne est tout à fait fermée. En mettant la vanne sur 1, la température ne baissera pas plus vite. Par contre, vous risquez d’avoir froid plus tard.

Vanne thermostatique sur radiateur

Bien combiner l’usage du thermostat et des vannes thermostatiques

Avec un thermostat fixe dans le salon

  • Pour avoir 20 °C dans ce local et 18 °C ailleurs, on règle le thermostat sur 20 °C, les vannes thermostatiques sur « 5 » dans le salon et entre « 2 » et « 3 » ailleurs.
  • Pour avoir 20 °C dans un autre local que le salon et 18 °C ailleurs, on règle le thermostat sur 28 °C pour que la chaudière continue de fonctionner, les vannes thermostatiques du local sur « 3 » et toutes les autres sur « 2 ».

Avec un thermostat portatif

  • Pour avoir 20 °C dans un local et 18 °C ailleurs, on règle le thermostat (que l’on prend dans le local) sur 20 °C, les vannes thermostatiques de ce local sur « 5 », toutes les autres sur « 2 ».
  • Ne pas oublier de remettre les réglages initiaux quand on quitte la pièce !

Bien régler sa chaudière

En été, si la chaudière produit l’eau chaude sanitaire, elle doit être réglée en mode « été ». Sinon, elle doit être éteinte !

Bien régler son circulateur

Si la pompe de circulation possède plusieurs vitesses sélectionnables, une réduction de vitesse peut être opérée manuellement de façon permanente ou en fonction de la saison afin de réduire la consommation électrique. Cette adaptation ne coûte rien et est réversible : si on constate une diminution du confort thermique, la situation d’origine peut facilement être rétablie.

En été, quand la chaudière est coupée, bien vérifier que le circulateur l’est aussi !

Entretenir ses radiateurs

  • Une fois par an, purgez les radiateurs pour que l’ensemble de leur surface en contact avec l’air puisse chauffer. Après la purge, vérifiez que la pression d’eau de votre circuit est toujours suffisante.
  • Dégagez les radiateurs. En couvrant votre radiateur ou en plaçant un meuble ou des tentures devant celui-ci, vous réduisez sa surface de chauffe et vous limitez son efficacité.
  • Époussetez régulièrement vos radiateurs et convecteurs. La poussière retient la chaleur.
Comment réaliser votre projet d’installation de panneaux solaires photovoltaiques en Région de Bruxelles-Capitale ?

Les étapes pour installer des panneaux PV en Région bruxelloise sont les suivantes.

Avant le placement

  • Vérifiez auprès de la commune si un permis d’urbanisme est nécessaire. En règle générale, il n’en faut pas si les panneaux ne sont pas visibles depuis la rue. S’ils sont visibles, ils doivent être parallèles au plan de la toiture sans débordement et présenter une saillie de 30 cm maximum.
  • Demandez des devis auprès de plusieurs installateurs avec une étude d’ombrage et de faisabilité.

Après le placement

  • Faites appel à Sibelga pour installer un compteur bidirectionnel A+/A-. Depuis 2020, le compteur et son placement sont entièrement gratuits pour les nouveaux détenteurs de panneaux PV en Région de Bruxelles-Capitale.
  • Faites contrôler la conformité de l’installation électrique au Règlement Général des Installations Électriques (RGIE) par un organisme agréé
  • Faites certifier l’installation pour avoir droit aux Certificats verts (CV). Dorénavant, la certification de votre installation est réalisée par un Organisme Certificateur Agréé (OCA) de votre choix. Après introduction par mail ou courrier postal de votre dossier (formulaire et annexes), l’OCA analyse celui-ci et organise une visite de certification (uniquement pour les installations de plus de 10kWc). Une fois le dossier complet et/ou la visite ne révélant pas d’irrégularité, l’OCA envoie une attestation de conformité confirmant la clôture de certification.
  • Lors de la clôture, l’OCA envoie une copie de votre dossier à Brugel qui vous envoie un mail d’activation avec votre accès à leur Extranet, une plateforme permettant la gestion de vos Certificats Verts (octroi et vente de vos CV). Ensuite, Brugel transmet une copie de votre dossier à Sibelga qui vous envoie un mail d’activation vers leur plateforme Greenmeter vous permettant de gérer votre installation (transmission de vos index de production, consultation de l’historique de votre production).
  • Depuis la fin de la compensation en novembre 2021, il vous est possible de revendre l’électricité réinjectée en établissant un contrat de rachat de votre surplus non consommé avec votre fournisseur d’énergie. Vous pourrez négocier un contrat de rachat de l’électricité verte que vous injectez sur le réseau avec un fournisseur d’électricité. Energie Commune peut vous y aider.
  • Le propriétaire qui installe des panneaux photovoltaïques chez lui est tenu de déclarer spontanément ses travaux à l’Administration du cadastre (via le formulaire 43B), dans les 30 jours, sous peine d’amende. Cette déclaration n’entrainera pas nécessairement une réévaluation du revenu cadastral puisqu’il s’agit de travaux qui ont pour but de réaliser des économies d’énergie. Plus d’info : Code d’impôt sur les revenus 1992, art. 473, §1er et Circulaire n°3/2010.
Installation solaire photovoltaique sur un toit incline
Quels sont les points d’attention à prendre en compte avant d’installer des panneaux PV ?

Orientation

L’ensoleillement est un élément primordial pour l’efficacité et la rentabilité des panneaux. Si une orientation plein Sud avec une inclinaison des panneaux à 35° par rapport à l’horizontale est idéale sous nos latitudes (100 % d’énergie solaire captée, produisant ainsi 1 000 kWh/an/kWc), on peut s’en écarter en fonction de la réalité du terrain. Lorsque l’orientation de la toiture inclinée est Est-Ouest (moins favorable), il peut être intéressant de placer les panneaux sur les deux versants afin de permettre une production tout au long de la journée.

Cette orientation favorise l’ en faisant correspondre le pic de production (en matinée et fin de journée) au pic de consommation. Cette autoconsommation est appelée à jouer un rôle primordial dans la rentabilité de l’installation photovoltaïque depuis 2021 et la fin du « principe de compensation ».

Influence de l'orientation et de l'inclinaison des panneaux sur la quantité d'énergie solaire captées © Energie+
Influence de l’orientation et de l’inclinaison des panneaux sur la quantité d’énergie solaire captée © Energie+

Ombrage

L’ombre diminue fortement le rendement des panneaux. Une étude d’ombrage est recommandée. On veille à ce qu’il y ait peu d’, dues notamment aux cheminées et aux arbres, ou qu’elle soit limitée à une petite période dans l’année.

Lorsque l’ombrage est problématique, on peut envisager de placer un ou des afin de limiter l’effet de l’ombrage sur la production totale de l’installation. Le placement de ces dispositifs entraîne un surcoût.

Température

Une élévation de la température des panneaux diminue leur rendement. Pour permettre leur refroidissement, il vaut mieux les placer en surimposition (en saillie), avec circulation d’air sous les panneaux, plutôt que les intégrer à la toiture.

Étanchéité et état de la toiture

Avant de placer des panneaux solaires sur un toit, il est indispensable de s’assurer de son bon état et de la présence d’une isolation performante. Démonter des panneaux pour refaire la couverture d’une toiture est très coûteux ! Lors du placement de panneaux photovoltaïques, l’installateur doit veiller à maintenir une parfaite étanchéité de la toiture.

Sécurité et risques

L’installation de panneaux photovoltaïques présente très peu de risques. Il faut cependant s’assurer que le toit puisse résister au poids des installations. Les panneaux placés sur un toit plat sont généralement maintenus en place par un lestage pour éviter de multiplier les percements de la membrane d’étanchéité.

Il faut s’assurer que leur prise au vent ne soit pas trop importante et laisser une distance suffisante entre les panneaux et le bord du toit. Parce qu’elle touche au réseau électrique, l’installation doit être conforme au RGIE (Règlement Général des Installations Électriques) et être réceptionnée par un organisme de contrôle.

Panneaux solaires photovoltaïques placés sur un toit plat maintenus en place par un lestage
Panneaux solaires photovoltaïques placés sur un toit plat maintenus en place par un lestage
Panneaux solaires photovoltaïques placés sur un toit plat protégés d'une prise au vent
Panneaux solaires photovoltaïques placés sur un toit plat protégés d’une prise au vent

Durée de vie

La durée de vie de panneaux peut atteindre 25 ou 30 ans. Il y aura tout au plus une légère perte de rendement avec le temps (autour de 1 % par an s’ils sont régulièrement nettoyés). L’ a une durée de vie plus limitée et doit en général être remplacé au bout d’une quinzaine d’années.

Entretien

Le propriétaire d’une installation photovoltaïque s’assure du bon fonctionnement de celle-ci par une surveillance régulière de sa production électrique. En dehors du remplacement de l’onduleur, l’installation ne demande pas d’entretien spécifique si ce n’est le nettoyage des panneaux. Pour ce faire, il est important de prévoir un accès aisé aux panneaux.

La périodicité du nettoyage dépend de l’inclinaison des panneaux, mais également de leur environnement (présence de poussière, pollen, feuilles mortes…). Au début de l’installation, un contrôle régulier de la salissure des panneaux permet d’établir cette périodicité. Certains fabricants proposent des panneaux « autonettoyants » qui diminuent la charge de nettoyage.

Autoconsommation

Pour optimiser le rendement financier de son installation, il faudra maximiser l’. Dans un premier temps, cela passe par une réduction de sa consommation !

On optimisera le rendement financier en programmant les appareils ménagers (lave-vaisselle, machine à laver, sèche-linge…) en journée pendant les pics de production solaire. Il est également possible de produire en journée ses réserves d’eau chaude sanitaire dans un ballon électrique ou un chauffe-eau thermodynamique (pompe à chaleur). On peut éventuellement se chauffer avec une pompe à chaleur électrique si le logement le permet. Il est également possible de placer des batteries, mais ces dernières sont encore très coûteuses et ne permettent d’absorber qu’un jour ou deux de production (il n’est pas possible de stocker un mois de production, pendant ses vacances d’été par exemple).

Il existe des systèmes intelligents qui permettent d’optimiser l’autoconsommation en détectant automatiquement les appareils (électroménagers, ballon d’eau chaude sanitaire, ballon thermodynamique et batterie) programmés à un instant précis.

Quels sont les principes généraux des panneaux photovoltaïques ? 

Fonctionnement

Les rayons du soleil transmettent leur énergie aux panneaux photovoltaïques (PV) en créant en leur sein une tension électrique. Cette tension fournit un qui est transformé grâce à un en , utilisable pour alimenter des appareils électriques domestiques ou le réseau public.

Rendement saisonnier

Le rendement annuel d’une installation photovoltaïque classique oscille entre 12 et 16 %, ce qui correspond à une production de 120 à 160 kWh d’électricité par an et par m² de panneaux.

Puissance maximale

En conditions optimales (plein soleil et température extérieure de 25° C), les panneaux produisent leur puissance électrique maximale. Celle-ci, exprimée en kiloWatt crête (kWc), sert de base au dimensionnement de l’installation. Sous nos latitudes, une installation de 1 kWc produit un peu moins de 1000 kWh par an.

En Belgique, rayonnement solaire reçu : 1 000 kWh/m²/an

Production d’électricité verte : 1 kWc produit 1 000 kWh/an

Un ménage moyen bruxellois, présent chez lui en soirée pendant la semaine et en journée durant le week-end, peut s’attendre à environ 30 % de sa production photovoltaïque. Le reste de sa consommation est prélevé sur le réseau public.

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